Non saprei Lorenzo, credo che cañizo voglia significare "canneto" e quindi canne, escludendo che possa invece indicare quelle orribili stuoie di cannette intrecciate che un tempo si mettevano lungo ringhiere e recinzioni per riparare da sguardi indiscreti... Penso che la strofa voglia significare che suoi corpi dei martiri rinascerà rigogliosa la natura, garofani (un simbolo quasi universale di liberazione) e canne da zucchero...
Bisognerebbe però sentire cosa ne pensano Gustavo ed Antonio... spero che ci dicano cosa ne pensano di questo lavoro di squadra sulla Cantata...
Bartleby 7/3/2011 - 08:21
De fait, Bartleby a raison : cañizo en français serait "canisse" (canisso en provençal).
Il s'agit sans doute d'Arundo donax, grand roseau dont la tige peut atteindre 6 m et sert à faire les canisses; mais aussi, ce devrait rassurer Bartleby et tous les amis des CCG, les meilleurs anches du monde.
Je crois que la meilleure traduction possible en français serait dès lors : roseau ou roselière (plantation de roseaux). C'est elle que je vais utiliser...
Le bambou n'est pas une plante européenne et il y a peu de chances qu'il ait été présent de façon significative avant la guerre. Les bambouseraies sont des curiosités assez récemment implantées en Europe.
Chanson espagnole - Diálogo de Belchite/ Liberación de París – Quintín Cabrera – 1975
Cette chanson fait partie de la Cantate de l'Exil, comme la dizaine de chansons reprises sur le site des Chansons contre la Guerre. Dans la mesure du possible, dit Marco Valdo M.I., j'en ferai une version française complète. Voici comment elle se présente en espagnol :
Cantata del Exilio
Muerte de Antonio Machado - Argelès-sur-Mer - Dulce muchacha - Celestino Alfonso - Poema de atención - Carta imaginaria a casa - Tema de los campos/ El trabajo libera - La escalera de Mauthausen - Diálogo de Belchite/ Liberación de París - Poema de silencio
Et je le ferai tout spécialement pour les Républicains espagnols auxquels aujourd'hui en 2011 justice n'a pas encore été rendue. Je le fais aussi en pensant à Santiago et à son épouse, Espagnols exilés, qui dans le modeste restaurant qu'ils avaient ouvert près de... (continua)
Our previous 'Song of the Month,' Unter di grininke beymelekh, developed into many versions in which the lyrics were modified. One example is a song commemorating victims of a pogrom, which opens: "Beneath the green trees, Moyshelekh and Shloymelekh are homeless."* The present ”Song of the Month,” Unter di Poylishe grininke Beymelekh, however, is not simply a textual modification of Unter di grininke beymelekh. It presents a new melody and a very different text, thus creating an entirely new song. It is, in fact, a sort of response—or perhaps a sequel—to Bialik's and Brounoff's song, in light of the Holocaust. It could well be titled, Unter di grininke Beymelekh 2 (the Holocaust) . The most obvious connection between the two songs is their almost identical opening line. However, a more careful analysis reveals more hidden connections in other lines.
(*) Kheyder, in ebraico kheder o kheider, è la scuola elementare ebraica. Come tutti i termini di orgine ebraica classica, in yiddish il termine mantiene la grafia non vocalizzata, חדר (come se fosse scritto "kh-d-r").
Scusate... utilizzando un lettore ottico per aiutarmi nella trascrizione di testi da file jpg o pdf a volte scappano degli errori nella revisione, e questo accade in particolare per le vocali...
Nella seconda strofa, "cada escalón el frío", e di conseguenza nella traduzione italiana di Lorenzo.
Chanson espagnole - En Cotlliure – Joan Manuel Serrat – 1969
Le grand poète espagnol Antonio Machado se rangea ouvertement du côté des Républicains depuis 1931. En 1936, de Madrid, il se transféra à Valence et puis, en 1938, à Barcelone, la dernière place forte républicaine. À la fin janvier 1938, Machado, sa mère, son frère et la femme de celui-ci fuirent vers la frontière française. Ils se mirent à l'abri dans la petite ville de Collioure où le poète très fatigué et prostré mourut le 22 février.