Oradour mon amour, tu m'entends?
Toi qui vivait si tranquille...
Mais qu'a t'on fait à tes habitants,
Pourquoi les avoir fait tant souffrir?...
Pourquoi les germains, les allemands,
Ont voulu un jour te détruire?
Toi qui voulait tout simplement,
Qu'on te laisse un tout petit peu vivre...
Oradour mon amour, je ne peux plus me taire,
Ton cauchemar me hante depuis des ans...
Quand leur folie meurtrière,
S'est abattue sur tous tes enfants...
Oradour, comment ont-ils pu dans ton église,
Assassiner les femmes et les minots...?
Et avec la conscience tranquille,
Les «réduire» tous à de simples fagots...
Oradour, tu me parles du Bon Dieu,
Mais je t'en prie laisse le là où il est...
Il n'a rien dit, il n'a rien voulu faire,
Quand les allemands t'assassinaient...
On nous a dit qu'il nous a fait à son image,
Ton Bon Dieu, il ne doit pas être très sage...!
Et pour moi c'est toujours pareil,
Les criminels sont toujours les mêmes...
Au Darfour, à Auschwitz ou bien ailleurs,
Ce sont toujours les innocents qui payent...
Et quand je serai un jour là haut,
Et que je n'aurai vraiment plus rien à perdre...
Et malgré mes épaules de moineaux,
Ton Bon Dieu j'irai lui dire deux mots...
Et pour que le monde n'oublie jamais ton supplice,
Oradour, je grave mes mots dans tes cicatrices...
Mais pour oublier tes brûlures, tes blessures,
Oradour mon amour, cela va être très très dur...
Parce que la France, ta patrie si reconnaissante,
Un jour a vraiment fait preuve de laxisme...
En préférant libérer les coupables,
En tuant deux fois les enfants de ta ville...
En tuant deux fois l'âme de ta ville...
Oradour j'entends à nouveau des bruits de bottes,
Qui résonnent sans cesse dans ma tête...
J'entends des slogans racistes, xénophobes,
Ecrit à l'encre noire d'Internet...
Et malgré tous ces gens qui sont morts,
L'antisémitisme existe encore...
Les temps changent sur notre planète,
Mais les hommes resteront toujours les mêmes...
Oradour mon amour, je ne veux plus me taire,
Ton cauchemar me hantera pendant des ans...
Et je pense à la folie des hommes, guerrière,
Qui peut revenir un jour, comme avant...
Qui peut revenir un jour, comme avant...
Qui peut revenir un jour, comme avant...
Toi qui vivait si tranquille...
Mais qu'a t'on fait à tes habitants,
Pourquoi les avoir fait tant souffrir?...
Pourquoi les germains, les allemands,
Ont voulu un jour te détruire?
Toi qui voulait tout simplement,
Qu'on te laisse un tout petit peu vivre...
Oradour mon amour, je ne peux plus me taire,
Ton cauchemar me hante depuis des ans...
Quand leur folie meurtrière,
S'est abattue sur tous tes enfants...
Oradour, comment ont-ils pu dans ton église,
Assassiner les femmes et les minots...?
Et avec la conscience tranquille,
Les «réduire» tous à de simples fagots...
Oradour, tu me parles du Bon Dieu,
Mais je t'en prie laisse le là où il est...
Il n'a rien dit, il n'a rien voulu faire,
Quand les allemands t'assassinaient...
On nous a dit qu'il nous a fait à son image,
Ton Bon Dieu, il ne doit pas être très sage...!
Et pour moi c'est toujours pareil,
Les criminels sont toujours les mêmes...
Au Darfour, à Auschwitz ou bien ailleurs,
Ce sont toujours les innocents qui payent...
Et quand je serai un jour là haut,
Et que je n'aurai vraiment plus rien à perdre...
Et malgré mes épaules de moineaux,
Ton Bon Dieu j'irai lui dire deux mots...
Et pour que le monde n'oublie jamais ton supplice,
Oradour, je grave mes mots dans tes cicatrices...
Mais pour oublier tes brûlures, tes blessures,
Oradour mon amour, cela va être très très dur...
Parce que la France, ta patrie si reconnaissante,
Un jour a vraiment fait preuve de laxisme...
En préférant libérer les coupables,
En tuant deux fois les enfants de ta ville...
En tuant deux fois l'âme de ta ville...
Oradour j'entends à nouveau des bruits de bottes,
Qui résonnent sans cesse dans ma tête...
J'entends des slogans racistes, xénophobes,
Ecrit à l'encre noire d'Internet...
Et malgré tous ces gens qui sont morts,
L'antisémitisme existe encore...
Les temps changent sur notre planète,
Mais les hommes resteront toujours les mêmes...
Oradour mon amour, je ne veux plus me taire,
Ton cauchemar me hantera pendant des ans...
Et je pense à la folie des hommes, guerrière,
Qui peut revenir un jour, comme avant...
Qui peut revenir un jour, comme avant...
Qui peut revenir un jour, comme avant...
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