Monsieur le président
Vous qui semblez si sûr
Que pour paraître grand
Il faille être dur
La raison du plus fort
Vit-elle du nombre de morts
Que vos jeunes cons rasés
Jouissent de décimer
Au nom de quel drapeau
Devoir vous imposer
Tuer tous les salauds
Vous en êtes le premier
Je vous déclare la guerre
Monsieur le président
Au devant de la terre
Hommage aux innocents
Loin d’être tortionnaire
Et pas vraiment soldat
Mes balles sont mes vers
Qui vous touchent et voilà
C’est con, mais t’as perdu
Tout’ ta véracité
En jouant aux obus
Sur l’Irak pétrolier
Entends ce p’tit conseil
Qui te vient de ma vieille
Pour remporter la guerre
Mieux que le nucléaire
Use de l’âme perso
Que le diable t’a remis(e)
Ne fait plus de cadeaux
Arme ta connerie
Avec un peu de chance
Et beaucoup d’espérance
Implorons à genoux
Qu’enfin elle vienne à bout
D’elle-même en premier
Et de toi en second
Qui pour le monde entier
Pass’pour le roi des cons
Je te déclare la paix
Monsieur le président
Mais si au grand jamais
Tu r’partais combattant
Sans cesse je chanterais
Ces doux vers t’affligeant
Ton ego je châtrais
A toi le Bush sanglant
Vous qui semblez si sûr
Que pour paraître grand
Il faille être dur
La raison du plus fort
Vit-elle du nombre de morts
Que vos jeunes cons rasés
Jouissent de décimer
Au nom de quel drapeau
Devoir vous imposer
Tuer tous les salauds
Vous en êtes le premier
Je vous déclare la guerre
Monsieur le président
Au devant de la terre
Hommage aux innocents
Loin d’être tortionnaire
Et pas vraiment soldat
Mes balles sont mes vers
Qui vous touchent et voilà
C’est con, mais t’as perdu
Tout’ ta véracité
En jouant aux obus
Sur l’Irak pétrolier
Entends ce p’tit conseil
Qui te vient de ma vieille
Pour remporter la guerre
Mieux que le nucléaire
Use de l’âme perso
Que le diable t’a remis(e)
Ne fait plus de cadeaux
Arme ta connerie
Avec un peu de chance
Et beaucoup d’espérance
Implorons à genoux
Qu’enfin elle vienne à bout
D’elle-même en premier
Et de toi en second
Qui pour le monde entier
Pass’pour le roi des cons
Je te déclare la paix
Monsieur le président
Mais si au grand jamais
Tu r’partais combattant
Sans cesse je chanterais
Ces doux vers t’affligeant
Ton ego je châtrais
A toi le Bush sanglant
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