Version française – APRÈS LA PLUIE – Marco Valdo M.I. – 2010
Chanson italienne – Dopo la pioggia – Ratti della Sabina
d'Anton Virgilio Savona et Gianni Rodari.
On veut toujours croire que la paix est une conséquence de la guerre. Mais ce serait bien si on avait la paix sans la guerre.
Oh, oh, dit Lucien l'âne, voilà une chanson bien aimable. Et quelle belle idée que la paix sans la guerre... Mais ma mémoire d'âne me dit qu'autant que j'ai vécu et parcouru le monde – autant dire depuis toujours ou presque, souviens-toi j'étais à Counaxa, j'étais aux Thermopyles... Je te rassure tout de suite, mon ami Marco Valdo M.I., j'y étais pour ainsi dire de passage... Je ne m'en suis pas mêlé, je les ai laissé se battre et dès qu'ils ont fait mine de s'intéresser à moi, j'ai fui et je me suis caché en attendant qu'ils se calment... J'étais de passage à Counaxa, qui n'est pas très éloignée de l'actuelle... (Continues)
Grazie ragazzi.
Io non parlo il francese, ma il fatto che un mio testo sia stato tradotto in francese e che si dibatta, poi, di citazioni del grande Boris Vian, non può che lusingarmi.
Grazie!!!
Bobo Jerrinez
"The song has never been translated into Danish!!!
It has always been published in Norwegian in Denmark."
CCG/AWS Staff:
Yes, I know, there's no need of singing a Norwegian song in Danish. The two languages are nearly the same. But I found a Danish translation of this song and AWS/CCG hosts any translation in any language of any song, even if it has never been published. This is one of the founding principles of this website. Anyway, Holger, thanks for correcting the Danish translation: as it is made by Danes, I was sure it was correct. I should always check any translation. Anyway, this page has been totally restructured with inclusion of your precious notes (that I have personally translated into Italian and English), and of Rod Sinclair's English version. Videoclips of the song in Norwegian and English have also been included.
D'après la version italienne de Riccardo Venturi – 2005 d'une chanson norvégienne – Til ungdommen – Nordahl Grieg – 1936 ( Musique Otto Mortensen – 1952)
È un po' quello che viene descritto nella canzone "Il fannullone" di De André: ci fanno nascere e crescere in una società in cui se non hai un lavoro, se non hai un autobus da prendere, se non hai soldi da spendere in cellulari, non sei nessuno. Devono per forza dare la nostra vita a qualcun altro - che sia datore di lavoro, che sia chiunque altro - che deve condizionarci la vita, come dentro un carcere. Devi fare quello che dicono loro, non puoi vivere come vuoi.
Io credo semplicemente che se abbiamo questa vita - e purtroppo o per fortuna credo che non ci sia stata data da alcun dio - è perché ognuno la deve vivere come vuole. Allora ammirerò sempre le persone che rifiutano ogni tipo di controllo, che preferiscono mangiare una volta sola volta al giorno (oppure digiunare, molto spesso) ma godersi la tanto chacchierata e, spesso negata, libertà.
Chanson italienne – Dopo la pioggia – Ratti della Sabina
d'Anton Virgilio Savona et Gianni Rodari.
On veut toujours croire que la paix est une conséquence de la guerre. Mais ce serait bien si on avait la paix sans la guerre.
Oh, oh, dit Lucien l'âne, voilà une chanson bien aimable. Et quelle belle idée que la paix sans la guerre... Mais ma mémoire d'âne me dit qu'autant que j'ai vécu et parcouru le monde – autant dire depuis toujours ou presque, souviens-toi j'étais à Counaxa, j'étais aux Thermopyles... Je te rassure tout de suite, mon ami Marco Valdo M.I., j'y étais pour ainsi dire de passage... Je ne m'en suis pas mêlé, je les ai laissé se battre et dès qu'ils ont fait mine de s'intéresser à moi, j'ai fui et je me suis caché en attendant qu'ils se calment... J'étais de passage à Counaxa, qui n'est pas très éloignée de l'actuelle... (Continues)