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Rage dans les flammes follettes

Richard Marot
Lingua: Francese



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Une chanson qui donne mon avis sur les tristes faits qui sont passés pendant quelques mois dans la ville de Paris et dans tout l'État français; et qui furent provoqués par les immmigrés qui ont fait une petite révolution contre le gouvernement à cause de leurs salaires trop petits. Mais ils ont utilisé une violence extrême et injustifiée pour réussir dans tout cela.
À mon avis
Il s’agit...
d’une cruelle folie
d’une triste lâcheté
qui est insensée
qui a déjà fini
car elle est punie
par un monde d’oubli

C’est une violence
qui a tué la jouissance
pour trouver sa semence
dans un peuple sans essence
qui a brûlé les villes
sans réaliser du cauchemar
qui a semé cette mémoire

Des larmes rouges depuis Lille
Jusqu’aux côtes du sud
Une source de dangers cinglés
pour poursuivre des idées paumées.

Car à mon avis
C’est vrai qu’il s’agit
d’une triste lâcheté.
Aux coeurs de toutes les villes,
On trouve le malheur brûlé.

Dans les rouges vagues qui inondent
toutes les vies mortes qui nagent et nagent
Sans savoir quoi faire dans ce monde
et pourtant elles veulent rester dans le monde
en train toujours d’acquérir leur paix
en train toujours de lutter pour la beauté.
les voitures qui brûlent, les écoles qui brûlent
dans les coeurs de l’enfance qui toujours soupirent.

C’est vrai qu’il s’agit d’un endroit ineffable
d’âmes torturées qui brûlent pour être capables
de faire face aux problèmes et à leur propre vanité.

Cependant, il s’agit à mon avis,
de la crainte de L’Oubli.
Cependant, il s’agit à mon avis,
de la peur de L’Oubli.

Ce sont des larmes bien rouges
Au milieu d’une nuit folle de chaleur
sans connaître le chemin perdu du bonheur.

Ce sont des chevaux noirs qui sont poursuis
par un vieux dompteur qui est trop gros
Et des bouffons qui rient atrocement...

À mon avis, il s’agit de la lâcheté
d’un enfer pénible qui est épuisé
car il ne peut pas arrêter de brûler
mais il en a déjà marre de brûler.

Cette jouissance laide du feu follet
qui finira avec le bout de sa publicité.

C’est une violence
qui a tué la jouissance
d’un peuple sans essence
pour trouver sa semence.
Et qui a brûlé toutes les villes
sans réaliser du cauchemar
qui a semé cette mémoire.

Des larmes rouges depuis Lille
Jusqu’aux côtes du sud
Une source de dangers cinglés
pour poursuivre des idées
qui sont bien oubliées
et qui sont trop paumées.

Et chaque flamme follette
meurt dans sa propre rage
mais cette rage restera chaque jour
dans tous les coeurs fâchés.

inviata da C. Viadel - 10/1/2008 - 11:41




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