Quand je suis entrée dans Numance
En Espagne, au grand jour levant
J'ai trouvé de l'herbe et du vent
Sur une terre de printemps
Quand je suis entrée dans Numance
Car on peut entrer dans Numance
Sans savoir que l'on est entré
Tous les murs ont été rasés
Par la guerre et ses cavaliers
Car on peut entrer dans Numance
Il reste un terrible silence
Un tracé de ville effacé
Des remparts, il y en avait
Des cris, des tours, des pigeonniers
Il reste un terrible silence
Passer les portes de Numance
C'est comme de vivre l'amour
On croyait le bonheur autour
Mais bientôt s'écroulent les tours
Passées les portes de Numance
Il reste une vague apparence
Des mots, des mois de l'amitié
Déjà les bûchers sont dressés
Où fond la neige du passé
Il reste une vague apparence
Et pourtant, je crois à Numance
J'entre en chantant dans ses faubourgs
Précédée de mille tambours
Ma Numance, c'est mon amour
Et pourtant, je crois à Numance
En Espagne, au grand jour levant
J'ai trouvé de l'herbe et du vent
Sur une terre de printemps
Quand je suis entrée dans Numance
Car on peut entrer dans Numance
Sans savoir que l'on est entré
Tous les murs ont été rasés
Par la guerre et ses cavaliers
Car on peut entrer dans Numance
Il reste un terrible silence
Un tracé de ville effacé
Des remparts, il y en avait
Des cris, des tours, des pigeonniers
Il reste un terrible silence
Passer les portes de Numance
C'est comme de vivre l'amour
On croyait le bonheur autour
Mais bientôt s'écroulent les tours
Passées les portes de Numance
Il reste une vague apparence
Des mots, des mois de l'amitié
Déjà les bûchers sont dressés
Où fond la neige du passé
Il reste une vague apparence
Et pourtant, je crois à Numance
J'entre en chantant dans ses faubourgs
Précédée de mille tambours
Ma Numance, c'est mon amour
Et pourtant, je crois à Numance
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