Τούτοι οι μπάτσοι που 'ρθαν τώρα
Τούτ' οι μπάτσοι που 'ρθαν τώρα, βρε
(Continues)
(Continues)
Contributed by Gian Piero Testa 2012/3/2 - 00:11
Πωπωπωπωπω οι πουτάνες...
Πωπωπωπωπω οι ρουφιάνοι...
κτλ
Ohiohiohiohiohi le puttane...
Ohiohiohiohiohi i ruffiani...
ecc.
Πωπωπωπωπω οι ρουφιάνοι...
κτλ
Ohiohiohiohiohi le puttane...
Ohiohiohiohiohi i ruffiani...
ecc.
Gian Piero Testa 2012/3/2 - 10:52
Grazie della traduzione! Non so perche sia cosi difficile trovare la versione scritta che tutti cantano, e con i mitici opopopop.
Cecco 2012/4/3 - 23:36
Il fatto è che il testo sembra parecchio oscillante anche per i cultori della musica rebetica "classica". Vedi queste cinque pagine di discussione.
Certo, dovrei sforzarmi almeno di trascrivere quanto si riesce a sentire nei due video: l'avrei già fatto, se fossi riuscito a risolvere due o tre piccoli dubbi.
La canzone è nota anche con il titolo "Manghes piaste ta ghiofiria" che credo voglia dire "Manghes, alzate i tacchi", insomma: sparite, a causa della retata. Alla lettera: "Prendete i ponti".
Certo, dovrei sforzarmi almeno di trascrivere quanto si riesce a sentire nei due video: l'avrei già fatto, se fossi riuscito a risolvere due o tre piccoli dubbi.
La canzone è nota anche con il titolo "Manghes piaste ta ghiofiria" che credo voglia dire "Manghes, alzate i tacchi", insomma: sparite, a causa della retata. Alla lettera: "Prendete i ponti".
Gian Piero Testa 2012/4/4 - 16:16
d'après la version italienne 'STI SBIRRI CHE SON VENUTI ADESSO de Gian Piero Testa
d'une chanson grecque Τούτοι οι μπάτσοι που 'ρθαν τώρα – Yannakis Ioannidis/ Γιαννάκης Ιωαννίδης - 1929
Un classique du milieu contre les flics qui a fleuri dans le monde du rébetique. Elle est inspirée d'une « rafle » de 1924 qui envoya dans la prison d'Oropòs (Chalcide) un bon nombre de « mangas » (les habitués des bars de nuit...), habituellement poursuivis pour jeux de hasard, usage du haschich et autres infractions du genre... (video 1)
Il est intéressant de noter que la chanson a été reprise immédiatement sur You Tube (avec un nombre incalculables de visions) pour rappeler, par les images, comment aujourd'hui encore les choses se passent mal entre la police grecque et les nombreux manifestants qui veulent faire savoir qu'ils ne peuvent plus supporter ce gouvernement piloté par la troïka internationale... (Continues)
d'une chanson grecque Τούτοι οι μπάτσοι που 'ρθαν τώρα – Yannakis Ioannidis/ Γιαννάκης Ιωαννίδης - 1929
Un classique du milieu contre les flics qui a fleuri dans le monde du rébetique. Elle est inspirée d'une « rafle » de 1924 qui envoya dans la prison d'Oropòs (Chalcide) un bon nombre de « mangas » (les habitués des bars de nuit...), habituellement poursuivis pour jeux de hasard, usage du haschich et autres infractions du genre... (video 1)
Il est intéressant de noter que la chanson a été reprise immédiatement sur You Tube (avec un nombre incalculables de visions) pour rappeler, par les images, comment aujourd'hui encore les choses se passent mal entre la police grecque et les nombreux manifestants qui veulent faire savoir qu'ils ne peuvent plus supporter ce gouvernement piloté par la troïka internationale... (Continues)
VINGT-DEUX...
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Contributed by Marco Valdo M.I. 2012/4/4 - 17:04
Parfait! Marco Valdo M.I.: come traduttore io sono solamente un dilettante, ma penso che, se l'ambiente circostante, è similare, il traduttore faccia bene a trasporre la lingua, o l'argot, originale nella sua corrispondente straniera. A me, dall'italiano al greco, è capitato a volte di "adattare" anche la toponomastica, perché ovunque si cerchi, si trovano le stesse tipologie di posti...
Gian Piero Testa 2012/4/4 - 19:20
Sono ancora Cecco,
Je suis Française et viens de voir le récit très agréable en Français!Où plongée dans votre amitié je découvre le cadre de cette chanson. Merci Marco Valdo et Gian Piero Testa vraiment pour votre traduction. j'aimerais parler grec pour connaitre celle de toute les autres. Vous êtes des rébétikoi italo-Français?
Lea
Je suis Française et viens de voir le récit très agréable en Français!Où plongée dans votre amitié je découvre le cadre de cette chanson. Merci Marco Valdo et Gian Piero Testa vraiment pour votre traduction. j'aimerais parler grec pour connaitre celle de toute les autres. Vous êtes des rébétikoi italo-Français?
Lea
Cecco 2012/4/4 - 22:14
C'est peu connaître le véritable Dimitri Dilinos. Se profile comme richissime intellectuel du Ministère des Affaires Extérieures de la Grèce, ce qu'il n'est aucunement. Mais qui est-il vraiment, indépendamment du niveau suspect de sa littérature? C'est un homme qui a fait travailler sa femme toute sa vie et a fait des dettes en jouant le riche, et a ainsi déshériter la famille de sa femme. Vous qui parlez de flics. Il a même après avoir prit tout le fric qui revenait au frère de sa femme porter plainte chez les flics contre lui, soit disant pour harcèlements. Au fait 20 lettres sur vingt ans du frère vers sa sœur et que Dilinos a ouvert et lu à son insu. Mais 'on' (surtout les femmes (qu'il plume!) le trouve très gentil. Je dirais qu'il es trop faux-cul pour être poète!
Patrick Cohn Benis 2012/5/3 - 18:30
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Στίχοι: Γιάννης Ιωαννίδης
Μουσική: Γιάννης Ιωαννίδης
Πρώτη εκτέλεση: Γιάννης Ιωαννίδης
1929
Testo, musica e prima esecuzione di Yannakis Ioannidis
1929
Un classico testo di insofferenza per la polizia del mondo marginale in cui fiorì la musica rebetica. Leggo che è ispirato a una retata del 1924 che portò nella galera di Oropòs (Calcide) un buon numero di "manghes", abitualmente perseguitati per gioco d'azzardo, uso di hashish e altre infrazioni del genere: v. i primo video.
Interessante notare che la canzone è stata di recente ripresa in youtube (con un numero non trascurabile di passaggi) per ricordare, grazie alle immagini, come tuttora non corra buon sangue tra la polizia greca e i molti manifestanti che cercano di far sapere di non essere in condizione di sopportare le misure del governo pilotato dalla troika internazionale: v. il secondo video.
Il testo cantato è un po' più "ricco" di quello che sono riuscito a trovare scritto. (gpt)