Modena City Ramblers: Quacet putèin
GLI EXTRA DELLE CCG / AWS EXTRAS / LES EXTRAS DES CCGVersion française – COUVRE-TOI, PETIT – Marco Valdo M.I. – 20... | |
LA FAVOLA DELLA SERA Questa qui è la favola della sera Per salutarti e farti addormentare E' la nenia degli occhi che si chiudono Quando c'è scuro e il giorno è finito Il vento soffia tra gli alberi Pettina i campi e l'erba nei prati E la fiaba va in giro e suona In tutte le case e per tutti i bambini Il verde è il colore delle lucertole Il blu è il cielo che si specchia nei fossi Il rosso è il colore delle faville Che saltano fuori a ballare nel fuoco Il giallo è il frumento in campagna Nella stagione del caldo e del sole E la nenia finisce con il nero Che è il più brutto, è il colore della notte Non vedi che è scesa la sera Che non c'è più gente e che non si sente più rumore E' il momento di raccontarsi delle fiabe E di starsene seduti qui vicino al fuoco Il sole è andato a nascondersi Il vento ha smesso di soffiare La luna è venuta a trovarci Perchè è ora di andare a dormire Dormi e non piangere Se fai dei sogni che ti agitano Perchè io son qui e me ne sto sempre sveglio A scacciare tutti i folletti Ti terrò lontani i ladri e i briganti I brutti pensieri e gli spiriti cattivi Ti farrò arrivare solo dei bei sogni Quelli di oro brillante e quelli di vero argento Non vedi che è scesa la sera Che non c'è più gente e che non si sente più rumore E' il momento di raccontarsi delle fiabe E di starsene seduti qui vicino al fuoco Il sole è andato a nascondersi Il vento ha smesso di soffiare La luna è venuta a trovarci Perchè è ora di andare a dormire Perchè è ora di andare a dormire | COUVRE-TOI, PETIT (Deux berceuses) Couvre-toi petit ! Il souffle un mauvais vent, Il y a un air transi Qui fait claquer les dents. Tourne le dos, Maintenant, fais dodo, Oublie ton chagrin Jusqu’à demain matin. Dans tes rêveries, Sois un bandit Qui vole des sourires Pour ceux qui sont toujours aigris. Sois un pirate Même si ici il n’y a pas de mer. Et prends toutes les larmes De ceux qui pleurent Berceuse, berceuse, berceuse, À qui je donne cet enfant ? Je le donnerai à sa maman Pour qu’elle lui chante une berceuse. Couvre-toi petit, Car il fait noir dehors Et dans tes rêves jolis, Il ne t’arrivera rien, ce soir. Tourne le dos, C’est l’heure de dormir, Pour ma chanson bientôt Il est temps de finir.. Berceuse, berceuse, berceuse, À qui je donne ce bandit ? Je le donnerai à sa mamy Pour qu’elle lui chante une berceuse. Berceuse, berceuse, berceuse, Ce pirate à qui je le donne ? Je le donnerai à son papa Qui doucement, cette chanson lui chantera. LA FABLE DES YEUX FERMÉS Version française – LA FABLE DES YEUX FERMÉS – Marco Valdo M.I. – 2019 Chanson italienne (Emiliano Modenese) – La fòla ed la sira – LA FAVOLA DELLA SERA – Modena City Ramblers – 2004 Voici la comptine de la soirée Pour te border et te bercer. C’est la fable des yeux fermés, Quand il fait sombre et que finit la journée. Le vent souffle dans les arbres, Il peigne les prés et l’herbe des champs Et la fable va, circule et résonne Dans toutes les maisons, pour tous les enfants. Le vert est la couleur de tes yeux, Le bleu du ciel dans les fossés se reflète, Le rouge est la couleur des étincelles Qui sautent et dansent dans le feu. Le jaune, c’est le blé dans le pays À la saison chaude et ensoleillée. Par le noir, la berceuse est terminée, Car le noir est la couleur de la nuit. Ne vois-tu pas qu’est venue la nuit, Qu’il n’y a plus personne, qu’on n’entend plus de bruit ? Il est temps de conter des récits Et de se tenir ici près du feu, assis. Le soleil s’est caché, Le vent a cessé de souffler, La lune est arrivée en catimini, Car c’est l’heure d’aller au lit. Dors et ne pleure pas Si des rêves t’agitent, Car je suis ici et que je veille Pour chasser les elfes. Je tiendrai au loin les voleurs et les bandits, Les tristes pensées et les mauvais esprits ; Je te ferai faire de beaux rêves D’or brillant et d’argent véritable. Ne vois-tu pas qu’est venue la nuit, Qu’il n’y a plus personne, qu’on n’entend plus de bruit ? Il est temps de conter des récits Et de se tenir ici près du feu, assis. Le soleil s’est caché, Le vent a cessé de souffler, La lune est arrivée en catimini, Car c’est l’heure d’aller au lit, Car c’est l’heure d’aller au lit. |