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LIBeRI

Susanna Parigi
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OriginaleVersion française – LIBRES - LIVRES – Marco Valdo M.I. – 2015 ...
LIBERI

Prima gli uomini segnarono le rocce...
poi i metalli, poi le lastre d’oro, le lamine di piombo, le lastre d’argilla, i papiri, le pergamene.
Poi vennero gli amanuensi.
In tutto questo tempo l’uomo ha difeso con il sangue la scrittura
perché il pensiero e la bellezza diventassero eterni...
perché il pensiero e la bellezza diventassero eterni...
perché il pensiero e la bellezza diventassero eterni...

Poi molti libri furono bruciati.
Ma questo odio è niente in confronto a quanto sono stati amati.
E alcuni uomini parlano, guardano, mangiano, corrono, ridono, urlano
ma sono morti.
Più morti dei sassi, più morti dei morti;
perché non hanno ansia di liberazione né capacità di appassionarsi...
perché non hanno ansia di liberazione né capacità di appassionarsi...
perché non hanno ansia di liberazione né capacità di appassionarsi...
Tutti gli uomini devono avere accesso al sapere.
Questa è giustizia.

A volte un popolo dorme come l’acqua di uno stagno in un giorno senza vento,
e allora alcuni libri possono scuotere le onde e risvegliare la vita.
Poiché ancora oggi l’ignoranza ha un terribile dominio,
e noi tutti sappiamo che dove c’è ignoranza
è molto facile confondere
il male con il bene e la verità con la menzogna...
il male con il bene e la verità con la menzogna
il male con il bene e la verità con la menzogna

L’uomo non lavora per il proprio tornaconto ma per coloro che verranno.
Questo è il senso ultimo di tutte le rivoluzioni
e in fondo il vero senso della vita.

LIBRES - LIVRES

D'abord, les hommes nommèrent les roches…
Puis les métaux, puis les plaques d'or, les feuilles de plomb, les plaques d'argile,
Les papyrus, les parchemins. Puis vinrent les copistes.
Durant tout ce temps, l'homme a défendu avec son sang l'écriture
Afin que la pensée et la beauté soient éternelles…
Afin que la pensée et la beauté soient éternelles…
Afin que la pensée et la beauté soient éternelles…

Puis beaucoup de livres furent brûlés.
Mais cette haine n'est rien comparée à l'amour qui leur était porté
Et quelques hommes parlent, regardent,
Mangent, courent, rient, hurlent,
Mais ils sont morts.
Plus morts que des pierres, plus morts que les morts ;
Car ils n'ont pas faim de libération, ni la capacité de se passionner…
Car ils n'ont pas faim de libération ni la capacité de se passionner…
Car ils n'ont pas faim de libération ni la capacité de se passionner…
Tous les hommes doivent avoir accès au savoir. Voilà la justice.

Parfois un peuple dort comme un jour sans vent,
Dort l'eau d'un étang
Alors, certains livres peuvent éveiller les vagues
Et réveiller la vie.
Car encore aujourd'hui, l'ignorance est une terrible puissance,
Et tous nous savons que là où règne l'ignorance,
Il est très facile de confondre
Le mal avec le bien, la vérité avec le mensonge…
Le mal avec le bien, la vérité avec le mensonge…
Le mal avec le bien, la vérité avec le mensonge…
L'homme ne travaille pas pour lui-même, mais pour ceux qui viendront.
Tel est le sens dernier de toutes les révolutions
Et le vrai sens de la vie, au fond.


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