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La mal mariée (o Déjà mal mariée)

anonimo
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OriginaleLa versione italiana così come interpretata da La Macina
LA MAL MARIÉE (O DÉJÀ MAL MARIÉE)

Mon père m'a mariée à un tailleur de pierre
Mon père m'a mariée à un tailleur de pierre
Le lendemain des noces m'envoie à la carrière
Le lendemain des noces m'envoie à la carrière

Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !

Le lendemain des noces, m'envoie à la carrière
Le lendemain des noces, m'envoie à la carrière
Et j'ai trempé mon pain dans le jus de la pierre
Et j'ai trempé mon pain dans le jus de la pierre

Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !

Et j'ai trempé mon pain dans le jus de la pierre
Et j'ai trempé mon pain dans le jus de la pierre
Par là vint à passer le curé du village
Par là vint à passer le curé du village

Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !

Par la vint à passer le curé du village
Par la vint à passer le curé du village
Bonjour Monsieur l'curé, j'ai deux mots à vous dire
Bonjour Monsieur l'curé, j'ai deux mots à vous dire

Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !

Bonjour Monsieur l'curé, j'ai deux mots à vous dire
Bonjour Monsieur l'curé, j'ai deux mots à vous dire
Hier m'avez faites femme, aujourd'hui faites moi fille
Hier m'avez faites femme, aujourd'hui faites moi fille

Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !

Hier vous m'avez faites femme, aujourd'hui faites moi fille
Hier vous m'avez faites femme, aujourd'hui faites moi fille
Je fais de fille à femme mais pas de femme à fille
Je fais de fille à femme mais pas de femme à fille

Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
Déjà mal mariée déjà, déjà mal mariée, gué !
LA MAL MARITATA

Tutte le sere all’osteria stava
e non pensava de damme de magnà.
Veniva a casa, faceva quistione
e se parlavo per me c’era il bastone.

Calci e pugni mi dava e poi mi bastonava due volte o tre

La sera poi con gli altri “sciampagnoni”
ancora i calzoni a me me se giocò:
veniva a casa mutande mutande
e non pensava alle pene degli affetti

Diede un calcio alla porta, mi buttò in terra morta e mi lasciò cader

Ma si non era per le mie care vicine
della mia vita voleva avere il fine.
Arremirate mie care zitelle.
o rugantelle che volete marito.

Che la cagion so io quante ne trovo
io ne lo mio mari’



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