Language   

Τα λόγια και τα χρόνια τα χαμένα

Yannis Markopoulos / Γιάννης Μαρκόπουλος
Back to the song page with all the versions


Version française - PAROLES ET ANNÉES PERDUES – Marco Valdo M.I...
LE PAROLE E GLI ANNI PERDUTI

Le parole e gli anni perduti
e le pene coperte dal fumo
l'esilio le ha trovate affratellate.
E le gioie improvvise che mi son capitate
erano come un lampo in una buia foresta,
come i pensieri che potevo rivolgerti.

E ti parlo in stanze e su terrazze
e in giardini perduti di Dio,
eppure credo che verranno gli usignoli
con le parole e con gli anni perduti,
qui dove prima eri dappertutto
mentre ora sei nel gelo tra le nevi.

La sorte ed il tempo hanno deciso
che in questo modo io vada pescando
che torni la notte per mille anni,
e che canti alla fine della festa
chi non ha conosciuto i suoi antenati
e che bussi alla porta del dolore
e che bussi alla porta del dolore
e che bussi alla porta del dolore.

E no non era fermo l'orologio
in una casa devastata e vuota,
le strade che mi han preso e che mi aspetto
Le parole che non so, te le lego
assieme alla gente che ha visto il male
e che tiene la bocca cucita.

Colui che semina lacrime e terrore
all'alba ne raccoglierà un oceano
uccelli neri gli indicano il cammino.
E ha sulla spalla un quadro dipinto
segno misterioso e radicale
che è fuggito dall'inferno e dal mondo.

La sorte ed il tempo hanno deciso
che in questo modo io vada pescando
che torni la notte per mille anni,
e che canti alla fine della festa
chi non ha conosciuto i suoi antenati
e che bussi alla porta del dolore
e che bussi alla porta del dolore
e che bussi alla porta del dolore.
LES PAROLES ET LES ANNÉES PERDUES

1. Version de Manos Eleftheriou.


Les paroles et les années perdues
Et les peines recouvertes par la fumée
L'exil les a retrouvées réunies.
Et les joies inattendues qui me sont échues
Étaient comme un éclair dans une forêt profonde,
Comme les pensées que je pouvais t'adresser.

Je te parle dans des salles et sur des terrasses
Et dans des jardins perdus de Dieu
Pourtant, je crois que reviendront les rossignols
Avec les paroles et les années perdues,
Ici où auparavant tu étais partout
À présent, tu es dans les gels et les neiges.

Le destin et le temps en ont décidé ainsi
Vendredi à neuf heures
Revint la nuit pour mille ans
Et chanta la fin de la fête
Vendredi, le soir de l'assassin
Qui frappa à la porte du peuple
Qui frappa à la porte du peuple
Qui frappa à la porte du peuple

Non, l'horloge n'était pas arrêtée
Dans une maison vide et dévastée,
Les rues qui m'ont pris et m'attendent
Les paroles que je ne sais pas, je te les lis
À l'unisson de gens qui ont vu le mal
Qui tient les bouches cousues.

Celui qui sème larmes et terreur
À l'aube recueille la pestilence
Des oiseaux noirs lui indiquent le chemin
t à son épaule, une blessure cachée
Signe mystérieux et radical
Qu'il a fui de l'enfer et du monde.

Le destin et le temps en ont décidé ainsi
Vendredi à neuf heures
Revint la nuit pour mille ans
Et chanta la fin de la fête
Vendredi, le soir de l'assassin
Qui frappa à la porte du peuple
Qui frappa à la porte du peuple
Qui frappa à la porte du peuple

1. Version de Nikos Xylouris.


Les paroles et les années perdues
Et les peines recouvertes de fumée
L'exil les a retrouvées réunies.
Les joies inattendues qui me sont advenues
Étaient comme un éclair dans une forêt sombre
Comme les pensées que je pouvais t'adresser.

Je te parle dans des salles et sur des terrasses
Et dans des jardins perdus de Dieu
Pourtant, je crois que viendront les rossignols
Avec les paroles et les années perdues,
Ici où auparavant tu étais partout
À présent, tu es dans les gels et les neiges.

Le destin et le temps en ont décidé ainsi
Que de cette manière je m'en vais pêcher
Que revint la nuit pour mille ans
Et chanta à la fin de la fête
Celui qui n'a pas connu ses parents
Qui frappa à la porte de la douleur
Qui frappa à la porte de la douleur
Qui frappa à la porte de la douleur

Non, l'horloge n'était pas arrêtée
Dans une maison vide et dévastée,
Les rues qui m'ont pris et m'attendent
Les paroles que je ne sais pas, je te les lis
À l'unisson de gens qui ont vue le mal
Qui tient les bouches cousues.

Celui qui sème larmes et terreur
À l'aube recueille un océan
Des oiseaux noirs lui indiquent le chemin
Et à son épaule, un tableau peint
Signe mystérieux et radical
Qu'il a fui de l'enfer et du monde.

Le destin et le temps en ont décidé ainsi
Que de cette manière je m'en vais pêcher
Que revint la nuit pour mille ans
Et chanta à la fin de la fête
Celui qui n'a pas connu ses parents
Qui frappa à la porte de la douleur
Qui frappa à la porte de la douleur
Qui frappa à la porte de la douleur


Back to the song page with all the versions

Main Page

Note for non-Italian users: Sorry, though the interface of this website is translated into English, most commentaries and biographies are in Italian and/or in other languages like French, German, Spanish, Russian etc.




hosted by inventati.org