Lingua   

Hécatombe

Georges Brassens
Pagina della canzone con tutte le versioni


OriginaleVersione spagnola di José Ramón Catalán
HÉCATOMBEHECATOMBE
Au marché de Briv'-la-Gaillarde,
A propos de bottes d'oignons,
Quelques douzaines de gaillardes
Se crêpaient un jour le chignon.
A pied, à cheval, en voiture,
Les gendarmes, mal inspirés,
Vinrent pour tenter l'aventure
D'interrompre l'échauffourée.
En un mercado de las afueras
se entabló feroz discusión
entre unas cuantas verduleras
sin apenas mediar razón.
Enterados los policias
cosa que no suele ocurrir
fueron a ver si conseguían
hacer algo util por fin.
Or sous tous les cieux sans vergogne,
C'est un usage bien établi,
Dès qu'il s'agit de rosser les cognes
Tout le monde se réconcilie.
Ces furies, perdant tout' mesure,
Se ruèrent sur les guignols,
Et donnèrent, je vous l'assure,
Un spectacle assez croquignol.
Pero es un hecho demonstrado
que ante un ataque general
todo el mundo deja de lado
su problema particular.
Y asi fue como esta valientes
dando un ejemplo de adhesión
se enfrentaron a los agentes
con espléndida decisión.
En voyant ces braves pandores
Etre à deux doigts de succomber,
Moi, je bichais, car je les adore
Sous la forme de macchabées.
De la mansarde ou je réside,
J'excitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides,
En criant: " Hip, hip, hip, Hourra! "
Al ver que los pobres gendarmes
iban sin duda a sucumbir
en lugar de despreocuparme
me apresuré a intervenir.
Y en esa lucha encarnecida
animé con todo mi afán
a las bravas gendarmicidas
por su digna labor social.
Frénétique, l'une d'elles attache
Le vieux maréchal des logis,
Et lui fait crier: " Mort aux vaches!
Mort aux lois! Vive l'anarchie! "
Une autre fourre avec rudesse
Le crâne d'un de ces lourdauds
Entre ses gigantesques fesses
Qu'elle serre comme un étau.
El jefe de los policias
fue atachado con frenesí
y gritó "¡viva la anarquia,
fuera leyes, viva el motín!"
Mientras tanto otro de los guardias
se esforzaba a más no poder
por no morir entra las nalgas
de una gigantesca mujer.
La plus grasse de ses femelles,
Ouvrant son corsage dilaté,
Matraque à grand coup de mamelles
Ceux qui passent à sa porté'.
Ils tombent, tombent, tombent,
Et, selon les avis compétents,
Il paraît que cette hécatombe
Fut la plus belle de tous les temps.
De estas hembras, las mas repleta,
desabrochandose el sostén
machacó con sus grandes testas
a viente agentes a la vez.
Iban cayendo, iban callendo,
y según solvente opinión
esta hecatombe acabó siendo
la más bella de la región.
Jugeant enfin que leurs victimes
Avaient eu leur content de gnons,
Ces furies, comme outrage ultime,
En retournant à leurs oignons,
Ces furies, à peine si j'ose
Le dire, tellement c'est bas,
Leur auraient même coupé les choses:
Par bonheur ils n'en avaient pas!
Antes de volver al trabajo
no contentas con lo anterior
con insolito desparpajo
una de ellas decidió...
Decidió, casi no me atrevo
decirlo puede ser vulgar
decidió cortarle los huevos
pero no se los pudo encontrar
decidió cortarle los huevos
pero no se los pudo encontrar.


Pagina della canzone con tutte le versioni

Pagina principale CCG


hosted by inventati.org