Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
De vivre ici ensemble !
Aimer rire,
Rêver et sourire
Au pays qui nous assemble !
Les soleils éclatent,
Les ciels explosent
Pour nourrir les buts mystérieux
De ces envahisseurs odieux.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Les chars pesants,
Polis par les ans,
Dévorent notre paysage ;
Les plus rares fleurs
Mêlent leurs odeurs
Aux senteurs du carnage,
La touffeur orientale,
Tout y empuantit
L’horizon joli
De la douce terre natale.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Les furtifs avions,
Font des cratères profonds
À l’humeur nauséabonde ;
C’est pour assouvir
Les désirs d’empire
Qu’ils viennent du bout du monde.
Aux soleils couchants,
Ils bombardent les champs,
Les canaux, les villes et les ports
De leurs mortels trésors ;
Et le monde s’endort et sombre
Dans de brûlants décombres.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
De vivre ici ensemble !
Aimer rire,
Rêver et sourire
Au pays qui nous assemble !
Les soleils éclatent
Les ciels explosent
Pour nourrir les buts mystérieux
De ces envahisseurs odieux.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Songe à la douceur
De vivre ici ensemble !
Aimer rire,
Rêver et sourire
Au pays qui nous assemble !
Les soleils éclatent,
Les ciels explosent
Pour nourrir les buts mystérieux
De ces envahisseurs odieux.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Les chars pesants,
Polis par les ans,
Dévorent notre paysage ;
Les plus rares fleurs
Mêlent leurs odeurs
Aux senteurs du carnage,
La touffeur orientale,
Tout y empuantit
L’horizon joli
De la douce terre natale.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Les furtifs avions,
Font des cratères profonds
À l’humeur nauséabonde ;
C’est pour assouvir
Les désirs d’empire
Qu’ils viennent du bout du monde.
Aux soleils couchants,
Ils bombardent les champs,
Les canaux, les villes et les ports
De leurs mortels trésors ;
Et le monde s’endort et sombre
Dans de brûlants décombres.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
De vivre ici ensemble !
Aimer rire,
Rêver et sourire
Au pays qui nous assemble !
Les soleils éclatent
Les ciels explosent
Pour nourrir les buts mystérieux
De ces envahisseurs odieux.
Chez eux, tout n’est qu’ordres et autorités,
Mensonge, terreur et médiocrité.
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