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Vale la pena

Giulio Wilson


Giulio Wilson

Lista delle versioni e commenti


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(Giulio Wilson)
Por ti vamos a vencer
(Inti-Illimani)
La Complainte Du Phoque En Alaska
(Beau Dommage)


2021
Storie vere tra alberi e gatti


Feat. Inti Illimani



La musica e le parole raccontano “una speranza infinita che si chiama vita”: Vale la pena è molto più di una canzone. È l’incontro di voci e di suoni per ricordare i sogni di un popolo, dei cittadini del mondo. Un brano che risuona come un inno alla vita, trasmettendo messaggi di serenità e speranza. I Flauti pan e le voci corali degli Inti Illimani si uniscono perfettamente al canto di Wilson, dando origine ad una canzone di carattere internazionale, senza scadenze. “Unità” è il termine che descrive il progetto, che delinea gli intenti di una musica che viaggia oltre i confini, nella direzione di un mondo in cui si possano - ricordando le parole del
brano - rispettare il confronto tra gli uomini, il dialogo, la libertà umana, la “vita come una sorpresa”.
Vale, vale, vale la pena.
Vale, vale, vale, vale la pena.

Vale la pena non bruciare i tempi,
Essere aperti ad accettare confronti,
sussurrare piano la buonanotte
sentirsi a casa pure da emigranti.

Vale la pena respirar profundo,
bajar corriendo una vieja colina,
abrir un libro y descubrir un mundo
y que tus sueños se hagan golondrinas.

Ah, il tempo passa e poi va,
fa divenire una anziana bambina,
o diventare una bambina signora.

Abbiamo dei sogni,
sopra una stella cadente
come vecchi bagagli,
le nostre speranze,
più dei difetti,
quelli che non vorresti,
non sempre tutto si può scegliere
e costruire è meglio che distruggere.

Vale la pena que se quiebren copas,
si haces de tu camino una gran fiesta,
vale la pena porque todo pasa
y lo que queda se quedará.

Ah, il tempo passa e poi va
non rimanere degli anni in attesa
vivi la vita e come una sorpresa.

Abbiamo tutti dei sogni
sopra una stella cadente
come vecchi bagagli
le nostre speranze
donde guardamos dolores
que nos empañan la risa
porque el destino no se puede elegir
y por delante hay un futuro que construir.

Me gusta el que parece extravagante,
los estudiantes de aquel mayo de París,
diciendo lo que sienten, amando con la mente,
cultivando un corazón consciente.
Quien sueña con volar hasta Marte,
o quien cumple desde aquí su parte,
le dan un sentido a su dolor,
quien se llena de valor
y de su vida es el autor.

Quien da sin pedir,
quien no se ha rendido,
quien vive la lucha
y quien ya se ha perdido,
la esperanza infinita.

Per chi ha dato e mai preso,
per chi non si è arreso,
per chi sente il dovere
di essere migliore.
c'è una speranza infinita:
si chiama vita.

inviata da dq82 - 14/8/2021 - 14:30





Il testo inserito originariamente (un'altra versione? tratto da ARTELIVEANDSOUND) ma che non corrisponde al cantato nel video
VALE LA PENA

Vale la pena coltivare le piante,
correre al vento su colline scoscese,
aprire un libro chiuso in una soffitta,
sentirsi bene pure in minoranza.

Vale la pena amarse todavía
dejar la prisa y cultivar la paciencia
Caminar lejos sin notar la distancia
sentirse grande incluso en minoria

Ah, il tempo passa e poi va,
fa divenire una anziana bambina,
o diventare una bambina signora.

Vale, vale, vale la pena.
Vale, vale, vale, vale la pena.

Abbiamo tutti dei sogni,
sopra una stella cadente
come vecchi bagagli,
le nostre speranze,
più dei difetti,
quelli che non vorresti,
non sempre tutto si può scegliere
e costruire è meglio che distruggere.

Vale, vale, vale la pena.
Vale, vale, vale, vale la pena.

Ah il tempo passa e poi va
non rimanere degli anni in attesa
viva la vita e come una sorpresa.

abbiamo tutti dei sogni
sopra una stella cadente
come vecchi bagagli
le nostre speranze
più dei difetti
quelli che non vorresti
non sempre tutto si può scegliere
costruire è meglio che distruggere

Me gusta el que parece extravagante,
los estudiantes de aquel mayo de París,
diciendo lo que sienten, amando con la mente,
cultivando un corazón consciente.
Quien sueña con volar hasta Marte ,
o quien cumple desde aqui su parte,
le da un sentido a su dolor,
quien se llena de valor
y de su vida es autor.

Per chi ha dato e mai preso,
per chi non si è arreso,
per chi sente il dovere
di essere migliore.
c’è una speranza infinita:
si chiama vita.

1/9/2021 - 23:07




Lingua: Francese

Version française – ÇA VAUT LA PEINE – Marco Valdo M.I. – 2021
Chanson italienne (en italien et espagnol) – Vale la pena – Giulio Wilson – 2021
Storie vere tra alberi e gatti

La musique et les paroles racontent « un espoir infini appelé vie » : Vale la pena est bien plus qu’une chanson. C’est la rencontre de voix et de sons pour rappeler les rêves d’un peuple, des citoyens du monde. Une chanson qui résonne comme un hymne à la vie, véhiculant des messages de sérénité et d’espoir. Les flûtes de pan et les voix chorales d’Inti Illimani se marient parfaitement avec le chant de Wilson, donnant le jour à une chanson de caractère international, sans limite. « Unité » est le terme qui décrit le projet, qui retrace les intentions d’une musique qui voyage au-delà des frontières, en direction d’un monde dans lequel on peut – en nous rappelant les paroles du morceau – respecter la confrontation entre les hommes, le dialogue, la liberté humaine et la « vie comme une surprise ».


Dialogue maïeutique



Voici, Lucien l’âne mon ami, une chanson qui s’intitule « Vale la pena », qui en français se traduit communément par « Ça vaut la peine ».

Avec un titre pareil, dit Lucien l’âne, on dirait un écho à Beau Dommage et à La Complainte Du Phoque En Alaska. Celle où le phoque chantait :

« Ça ne vaut pas la peine
De laisser ceux qu’on aime
Pour aller faire tourner
Des ballons sur son nez. »


Certes, dit Marco Valdo M.I., mais ici, c’est juste le contraire qui est dit. Quoique, quand on y réfléchit, au fond, c’est la même rengaine qui oppose – à juste titre – la vie quotidienne, telle qu’elle se vit au ras du monde et la vie fantasmée de la phoque frivole qui s’en est allée se perdre au monde des apparences ou celle des espérances brûlantes de Ça vaut la peine :

« Nos espérances brûlantes
Ont eu des déficiences,
Qu’il faut tenir en défiance.
On ne peut pas toujours tout choisir »

Je précise cependant qu’il te faut distinguer entre la futilité de la richesse, de la poursuite de la gloire ou des charmes indiscrets de l’apparence et la futilité comme distraction de la vie quotidienne, comme manière de respirer un peu de bonheur. La première est fondée sur la valeur, la valorisation des moindres gestes et des moindres choses et par conséquent, sujette à la commercialisation et à la dégradation ; la seconde, quant à elle, s’appuie sur le vent, le rien, l’air, le temps qui passe, elle est dans la gratuité, elle n’a d’autre valeur qu’elle-même et ne peut donc faire l’objet de commerce sous peine de s’annihiler. On ne saurait la quantifier, c’est ce qui fait précisément sa valeur. Un des exemples les plus clairs, c’est ce qui arrive à l’amitié ou à l’amour quand on essaye de les quantifier, de les commercialiser. La première est la lourdeur personnifiée ; pour elle, plus c’est lourd, mieux c’est ; la seconde est toute de légèreté vêtue.

On dirait, dit Lucien l’âne, que tu touches là au problème vital de l’espèce humaine, que tu mets à jour le cancer qui la ronge et qui pour nourrir ses apparences détruit la vie elle-même. Mais restons-en là, on n’est pas ici pour philosopher ; on n’est juste là que pour dire quelque chose à propos d’une chanson. C’est déjà beaucoup, je trouve. Alors, reprenons notre tâche et tissons le linceul de ce vieux monde riche (trop riche), avide, arrogant, ambitieux, commercial et cacochyme.

Heureusement !

Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.

ÇA VAUT LA PEINE

Ça vaut la peine de cultiver les plantes,
De courir sur des collines abruptes,
D’ouvrir un livre, réfugié dans un grenier,
De se sentir bien, même en minorité.

Ça vaut vraiment la peine d’aimer,
De lâcher prise et cultiver la patience,
De marcher sans souci de la distance,
De se sentir bien, même en minorité.

Ah, le temps passe et puis s’en va,
Il fait grandir l’enfant en une fois
Puis, fait venir l’adulte tout droit.

Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine.
Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine.

Nous avons tous fait des vœux
Sur une étoile filante
Comme des bagages trop vieux
Nos espérances brûlantes
Ont eu des déficiences,
Qu’il faut tenir en défiance.
On ne peut pas toujours tout choisir,
Vaut mieux construire que détruire.

Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine.
Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine.

Ah le temps passe et puis s’en va.
Ne restez pas comme ça,
Vivez la vie comme elle sera.

Nous avons tous fait des vœux
Sur une étoile filante
Comme des bagages trop vieux
Nos espérances brûlantes
Ont eu des déficiences,
Qu’il faut tenir en défiance.
On ne peut pas toujours tout choisir,
Vaut mieux construire que détruire.

J’aime l’extravagant,
Les étudiants de ce mois de mai à Paris,
Qui parlaient avec le sentiment, aimaient avec l’esprit,
Et cultivaient un cœur conscient.
Qui rêve de voler vers Mars ou ailleurs,
Qui joue son propre rôle ici,
Donne un sens à sa douleur,
Qui de courage s’emplit
De sa vie est l’auteur.

Pour qui a donné et jamais pris,
Pour qui n’a jamais fléchi,
Pour qui cherche de tout cœur
À être un peu meilleur,
Il existe une espérance infinie :
Qui s’appelle la vie.

inviata da Marco Valdo M.I. - 30/8/2021 - 20:11




Lingua: Francese

Version française – ÇA VAUT LA PEINE (2) – Marco Valdo M.I. – 2021
Chanson italienne (en italien et espagnol) – Vale la pena – Giulio Wilson – 2021
Storie vere tra alberi e gatti



Voici donc la deuxième version française de Vale la pena de Giulio Wilson. Elle est logiquement intitulée ÇA VAUT LA PEINE (2). On se reportera à la première pour les commentaires et pour comparer les deux versions ; il y a de substantielles différences.
ÇA VAUT LA PEINE (2)

Ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine.
Ça vaut, ça vaut, ça vaut, ça vaut la peine.

Ça vaut la peine de ne pas brûler les étapes,
D’être ouvert aux rencontres,
De chuchoter bonne nuit doucement,
Et de se sentir chez soi, même émigrant.

Ça vaut la peine de respirer bien fort,
De dévaler la colline vers la vallée profonde,
De lire un livre et découvrir un monde
Et nos rêves faits d'or.

Ah, le temps passe et puis s’en va,
Il fait grandir l’enfant en une fois
Puis, fait venir l’adulte tout droit.

Nous avons tous fait des vœux
Sur une étoile filante
Comme des bagages trop vieux
Nos espérances brûlantes
Ont eu des déficiences,
Qu’il faut tenir en défiance.
On ne peut pas toujours tout choisir,
Vaut mieux construire que détruire.

Ça vaut la peine de faire
La fête et de casser des verres,
Ça vaut le coup, car tout passe et s’en va
Et ce qui reste, restera.

Ah le temps passe et puis s’en va.
Ne restez pas comme ça,
Vivez la vie comme elle sera.

Nous avons tous fait des vœux
Sur une étoile filante
Comme des bagages trop vieux
Nos espérances brûlantes
Où nous gardons les douleurs
Qui ternissent nos humeurs,
Car le destin ne se peut choisir
Et il faut construire un avenir.

J’aime l’extravagant,
Les étudiants de ce mois de mai à Paris,
Qui parlaient avec le sentiment, aimaient avec l’esprit,
Et cultivaient un cœur conscient.
Qui rêve de voler vers Mars ou ailleurs,
Qui joue son propre rôle ici,
Donne un sens à sa douleur,
Qui de courage s’emplit
De sa vie est l’auteur.

À qui donne sans demander,
Qui ne s’est pas rendu,
Qui lutte et qui vit
Et à qui s'est déjà perdu,
L’espoir est infini.

Pour qui a donné et jamais pris,
Pour qui n’a jamais fléchi,
Pour qui cherche de tout cœur
À être un peu meilleur,
Il existe une espérance infinie :
Qui s’appelle la vie.

inviata da Marco Valdo M.I. - 2/9/2021 - 20:08




Lingua: Italiano

Traduzione italiana di Lorenzo Masetti delle parti in spagnolo
VALE LA PENA

Vale, vale, vale la pena.
Vale, vale, vale, vale la pena.

Vale la pena non bruciare i tempi,
Essere aperti ad accettare confronti,
sussurrare piano la buonanotte
sentirsi a casa pure da emigranti.

Vale la pena respirare profondo,
scendere di corsa da una vecchia collina,
aprire un libro per scoprire un mondo
e che i tuoi sogni si facciano rondini

Ah, il tempo passa e poi va,
fa divenire una anziana bambina,
o diventare una bambina signora.

Abbiamo dei sogni,
sopra una stella cadente
come vecchi bagagli,
le nostre speranze,
più dei difetti,
quelli che non vorresti,
non sempre tutto si può scegliere
e costruire è meglio che distruggere.

Vale la pena spaccare i bicchieri
se fai della tua strada una gran festa,
vale la pena perché tutto passa
e resterà quello che resta

Ah, il tempo passa e poi va
non rimanere degli anni in attesa
vivi la vita e come una sorpresa.

Abbiamo tutti dei sogni
sopra una stella cadente
come vecchi bagagli
le nostre speranze
dove teniamo dolori
che ci appannano il sorriso
perché il destino non si può scegliere
e davanti c'è un futuro da costruire

Mi piace chi sembra stravagante
gli studenti di quel maggio a Parigi,
che dicono quel che sentono, che amano con la mente
che coltivano un cuore cosciente.
Chi sogna di volare fino a Marte
o chi fa anche da qui la sua parte
dà un senso al suo dolore
chi si riempie di valore
e della propria vita è l'autore.

Chi dà senza chiedere,
chi non si è arreso
chi vive la lotta
e chi si è perso
la speranza infinita.

Per chi ha dato e mai preso,
per chi non si è arreso,
per chi sente il dovere
di essere migliore.
c'è una speranza infinita:
si chiama vita.

2/9/2021 - 23:06




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