Un jour, comme le Grec ou l’Espagnol,
Homme sans nom,
Chrétien, marxiste, croyant ou non,
Dès lors que tu étais du peuple,
Révolution,
Enthousiaste et vibrant, calme et serein,
Homme chilien,
Homme Liberté, Homme confiant,
Tu semas le grain des moissons,
La fin de ton aliénation,
Tu te donnas un président,
Allende, Allende, Allende... Allende !
Paysan, tu pris la terre à pleines mains,
Et à plein cur ,
Car elle était devenue Tienne ;
Et que germe le blé nouveau, viennent les fleurs,
Et vienne la tendresse des berceaux,
Femme chilienne,
Femme qui chante, Femme qui pleure,
C’est toi qui as peur du vautour,
C’est toi la force de l’Amour,
C’est toi l’Espérance et la Vie
Du Chili, du Chili, du Chili... du Chili !
Chilien, comme le Grec ou l’Espagnol,
Homme aux mains nues,
Convaincu que rien ni personne
Ne pourrait arrêter le cours
De ton histoire,
Homme qui croyait en Dieu, croyait en l’Homme,
Une vie d’espoir,
Homme tout court, Homme tout nu,
Tu n’as pris garde et apparut
Tant du dedans que du dehors
La bête immonde portant la Mort
Du Chili, du Chili, du Chili, du Chili !
Elle boycotta ton cuivre,
Elle s’appropria ta terre,
Elle exila ton poète Pablo Neruda,
Elle mutila ton chanteur guitariste Victor Jara
Elle assassina ton Président, le 11 septembre 1 973
Allende, Allende, Allende, Allende !
Homme sans nom,
Chrétien, marxiste, croyant ou non,
Dès lors que tu étais du peuple,
Révolution,
Enthousiaste et vibrant, calme et serein,
Homme chilien,
Homme Liberté, Homme confiant,
Tu semas le grain des moissons,
La fin de ton aliénation,
Tu te donnas un président,
Allende, Allende, Allende... Allende !
Paysan, tu pris la terre à pleines mains,
Et à plein cur ,
Car elle était devenue Tienne ;
Et que germe le blé nouveau, viennent les fleurs,
Et vienne la tendresse des berceaux,
Femme chilienne,
Femme qui chante, Femme qui pleure,
C’est toi qui as peur du vautour,
C’est toi la force de l’Amour,
C’est toi l’Espérance et la Vie
Du Chili, du Chili, du Chili... du Chili !
Chilien, comme le Grec ou l’Espagnol,
Homme aux mains nues,
Convaincu que rien ni personne
Ne pourrait arrêter le cours
De ton histoire,
Homme qui croyait en Dieu, croyait en l’Homme,
Une vie d’espoir,
Homme tout court, Homme tout nu,
Tu n’as pris garde et apparut
Tant du dedans que du dehors
La bête immonde portant la Mort
Du Chili, du Chili, du Chili, du Chili !
Elle boycotta ton cuivre,
Elle s’appropria ta terre,
Elle exila ton poète Pablo Neruda,
Elle mutila ton chanteur guitariste Victor Jara
Elle assassina ton Président, le 11 septembre 1 973
Allende, Allende, Allende, Allende !
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