Michèle Torr

Canzoni contro la guerra di Michèle Torr
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Michèle Torr7 avril 1947, naissance de Michèle Torr à Pertuis dans le Luberon.

Mais c’est à Courthézon où elle grandit que, petite elle donne des couleurs aux mots et surtout les chante. Elle fait ses premiers pas sur scène à 6 ans; étudie le chant avec Mme Viaud; participe et gagne tous les concours de sa région.
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« Deux personnes m’ont donné envie de chanter : ma mère et Edith Piaf » confit-elle.

Sa belle histoire commence à Avignon où elle remporte à 14 ans le 1er prix d’un radio crochet : 120 francs et une première partie d’un récital de Jaques Brel au Palais des Papes en Avignon.

Marquée et émue par la voix de Piaf, bouleversée par Brel, soutenue par sa mère passionnée de chanson et par son père facteur, Michèle poursuit son chemin avec détermination. Accompagnée de son professeur de chant, elle « monte » à Paris en 1963, auditionner chez Philips en interprétant « Exodus ».

Cet en octobre 1963, à 16 ans, que Michèle, entourée de Clémente et Charles Tort ses parents, et Brigitte sa petite sœur, signe son premier contrat chez Mercury. Le jour même disparaît la môme Piaf…

3 mois plus tard, le 13 janvier 1964, sort son premier 45 tours « C’est dur d’avoir 16 ans » puis le deuxième « Dans mes bras oublie ta peine ». Elle accède au Hit Parade, est classée Chouchou à Salut les Copains, émission mythique des jeunes de l’époque.

Le public adopte tout de suite cette nouvelle artiste et dès lors Michèle Torr enchaîne les succès.

Elle est choisie pour représenter le Luxembourg à l’Eurovision en avril 1966 avec « Ce soir je t’attendais » et défend en 1977 les couleurs de la Principauté de Monaco avec « Une petite française».

En 1972 elle change de maison de disques et signe chez AZ. Ses rencontres avec J. Albertini, S. Garcia, P. Delanoë, D. Barbelivien, F. Bernheim, tous auteurs et compositeurs à succès, offrent à Michèle des textes et des mélodies qui font d’elle l’artiste populaire, incontournable de la chanson française.

Les tubes s’enchaînent: «Une vague bleue» (1974), «Je m’appelle Michèle» (1976), «Une petite française» (1977), «Emmène-moi danser ce soir» (1978) (3 millions d’exemplaires vendus!), «Discomotion» (1979), «J’en appelle à la tendresse» (1981), «A faire pleurer les femmes» (1981), «Midnight blue en Irlande» (1983)…

De nombreuses versions étrangères sont éditées notamment en japonais, en espagnol, en allemand, en italien, en anglais.

Membre de la Sacem, elle signe régulièrement à titre d’auteur quelques uns de ses textes. Des histoires de vie, d’amour, que son public partage avec elle. Michèle devient productrice.

Depuis 1996, elle s’octroie plus de liberté et produit toute sa discographie dont les albums « Seule », « Portrait de scène », « Donner », « C’est l’amour » ainsi que ses spectacles.

2004 c’est l’année de ses 40 ans de chanson. Et pour fêter ces 40 ans d’amour elle enregistre 16 titres de celle à qui elle veut avec évidence rendre hommage : Edith Piaf, et sort l’album « C’est l’amour ».

Michèle Torr fait sa 1ère tournée d’été, en 1964 avec « Le Golfe Drouot » puis avec Claude François. Depuis lors, la scène c’est chez elle.

Recordwoman avec plus de 250 concerts par an dans les années 70 & 80 à la rencontre son public.

Du Japon au Canada, du Brésil à la Tunisie, en Belgique, en Suisse, en Hollande, en Italie, en Bulgarie, au Liban, en Allemagne, sur toutes les scènes du monde elle triomphe.

Elle participe en 1970 au Festival du Japon et remporte le grand prix d’interprétation de la chanson française. Elle enchaîne avec une tournée de deux mois et reçoit un accueil sans égal du public Nippon.

En 1971, c’est au Brésil qu’elle défend une chanson de Charles Dumont « Rire ou pleurer » au Festival de Rio en présence du roi Pelé au grand stade Maracaña devant un parterre de 100 000 personnes.

1er Olympia, en 1964 où elle lève le rideau du spectacle de Claude François et en 1970 est en première partie d’Enrico Macias.

Février 1980, c’est l’événement ! En vedette à l’Olympia, Michèle Torr triomphe chaque soir et chante à guichet fermé pendant un mois. Elle retrouve cette salle mythique en 1983, 1986, 1996, 1998, 2002, 2003 (sortie à l’occasion de son 1er DVD) et pour la dixième fois en 2005.
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Sur les routes toutes les semaines, elle passe beaucoup de temps en voiture pour rejoindre chaque année les scènes des ses 80 concerts en France et à l’Etranger. Une aventure que Michèle partage depuis toujours avec ses musiciens et ses heureux spectateurs qui la remercient par leur fidélité.
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Avec sa présence, son talent, ses magistrales interprétations a cappella, sa voix claire, éclatante, avec ce rien de modulations rauques qui apporte une sensualité douce et prenante, elle conquit tous les publics par 2 heures de tour d’émotions.

La scène c’est l’espace où la pudeur la quitte pour faire don d’elle-même, don de son art et prendre le plaisir physique de donner tout simplement.

« Elle a le visage d’un ange et la voix du diable. Cette voix si particulière, à la fois langoureuse, caressante et puissante, aux accents rauques et veloutés, à la tonalité douce-amère qui émane des tréfonds de son être. Michèle TORR possède une attraction presque animale qui vous prend au ventre et vous donne le vertige dans une envolée quasi mystique.
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Ce qui fait la force de cette artiste hors du commun, c’est sa personnalité, un mélange de fragilité et de glamour flamboyant. Elle est femme avant d’être interprète. Durant tout son concert « les notes caressent les mots, elle a le cœur au bord des lèvres, tendu vers les bravos ». Derrière son regard bleu acier, on devine ses fêlures. Au travers de ses chansons, elle se livre, lentement, prudemment, doucement. Avec une émotion bouleversante elle se paie même le luxe de reprendre le monumental « Non je ne regrette rien » de la mythique Edith PIAF. Son interprétation de ce standard, n’ayant d’ailleurs, dussent les esprits chagrins et les puristes hurler à l’hérésie, au sacrilège et au blasphème, rien à envier à l’original.

Durant tout le spectacle, Michèle TORR montre qu’elle « aime son public jusqu’à la déchirure ». Elle a atteint l’inaccessible étoile, celle qui brille au firmament de l’amour et du talent, loin des comètes filantes et éphémères formatées pour des tubes d’un jour. Le public en transe, l’acclame par une « standing ovation » et essuie une larme.

C’était un show d’une beauté, d’une grâce et d’une pureté rares, riche de toutes les émotions primales qui font l’être humain. « Il y avait dans ce rendez-vous quelque chose de divin ». Michèle TORR chante l’amour, la passion, la rupture, le don de soi… Ce qui est sûr, c’est que ce brillant gala nous a été donné par une véritable star, et s’il y a dans ce mot un peu de paillettes, il y a surtout beaucoup d’amour. Si du jardin des cieux, au milieu des roses blanches, sa douce maman la regarde, elle a tout lieu d’être fière de sa fille…»
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Nommée en 1997 Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres par le Ministre de la Culture Monsieur Philippe Douste-Blazy, c’est Line Renaud qui a le privilège de lui épingler sa médaille au nom du Président de la République. Extrait du discours de Line « Il est juste qu’on ait donné ton nom à ce symbole parfait de la beauté alliée à la pureté et à la simplicité « une rose blanche » qui orne les Jardins de Bagatelle » et ceux du parc du château de son village d’enfance Courthézon.
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Le 2 décembre 2002 Michèle Torr est élevée au grade d’Officier des Arts et des Lettres par le Ministre de la Culture Monsieur Jean-Jacques Aillagon qui la salut comme étant « une bête de scène authentique inscrite dans le meilleur de la tradition de la chanson française ».

« Elle chante juste, elle chante bien, elle est surtout passionnée par ce métier, et c’est quand même ce qu’il y a de plus important !! » Claude François.

« Quand j’ai vue Michèle Torr pour la première fois j’ai su que la chanson française avait à sa disposition un nouveau talent ! La route a été peut être plus longue que je ne l’aurais souhaité, mais « un jour ou l’autre » ça devait arriver ! » Bruno Coquatrix.

« La France compte quelques grandes dames de la chanson. Michèle est l’une d’elles. Sa voix émeut et l’émotion contagieuse atteint le public en plein cœur. Phénomène rarissime. Michèle Torr n’en finira jamais de séduire et de conquérir. Son charme opère, envoûte et retient. Quelle ambassadrice de notre chanson française » Pierre Delanoë.

Ambassadrice de la Provence, elle aime y chiner les brocantes et trouver le nouvel objet qui prendra place dans sa maison. Elle aime la décoration et restaurer les maisons.

Très croyante et avec une grande ouverture d’esprit elle porte aussi un intérêt à toutes les religions.
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La musique et le chant occupent sa vie depuis toujours, mais les grands bonheurs de sa vie s’appellent Romain, Emilie, ses enfants et Charlotte, Samuel et Nina, les enfants de son fils. ses petits-enfants, ses petits-Loulou, comme tendrement elle les appelle.

Elle sort en janvier son 53ème album « Michèle TORR en concert » incluant 2 titres inédits écrits par Henri Salvador et fête ses quarante ans de carrière, avec son 10ème Olympia les 11 – 12 & 13 mars. C’est encore un triomphe pour ce nouveau rendez-vous parisien avec son public.

Au printemps, à l’occasion de cet anniversaire elle publie sa première autobiographie « La couleur des mots ». Elle confie que petite elle donnait des couleurs aux mots, d’où le titre de son livre par lequel on découvre la personnalité d’une femme sensible, simple et authentique.

Le 7 novembre sort chez Warner Vision le DVD et double CD de son 10ème Olympia « Michèle TORR Olympia 2005 » qu’elle présente les 9 et 10 novembre sur la scène intimiste du Petit Journal Montparnasse à Paris.
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Fin mai 2006, elle choisit de distribuer chez les marchands de journaux son 55ème album « La louve », CD accompagné d’un fascicule-poster.

On y trouve 16 titres. Sont inclus deux de ses succès en nouvelle version « Emmène-moi danser ce soir » et « La louve » ainsi que trois nouveaux titres: « Monsieur Cézanne », enregistré avec la chorale des Petits Chanteurs d’Aix-en-Provence en hommage au peintre Aixois Paul Cézanne (1839-1906), « Je te dis oui » et « Côté soleil "la couleur des mots" », ce dernier passant en play-list sur plus de 120 radios FM…

Sensible à l’œuvre de Sœur Emmanuelle, elle lance l’action ‘Les mardi de Michèle’ avec Les Tirelires de l’espoir et offre au printemps à Romans, un concert pour l’association ‘Opération Orange’ dont elle est marraine. Elle est aussi Présidente d’Honneur de ‘Ressource’ à Aix-en-Provence, association de soutien aux personnes atteintes de cancer et leur entourage.

Depuis mars, Michèle TORR assure deux tournées, son spectacle de l’Olympia 2005 et les concerts de la Tournée Age Tendre et Têtes de bois dont elle a été la première à accepter le projet et le concept. Douze artistes qui ont fait la magie des années 60 et 70 parcourent la France avec 3 heures de tubes légendaires. Après une année triomphale, de Zénith et Parcs expo, elle participe pour une deuxième saison à la tournée des idoles avec toute l’énergie qu’on lui connaît.

Eternelle interprète de l’amour, elle prépare pour fin 2007 son nouvel album qu’elle présentera du 10 au 13 avril 2008 à l’Olympia.

http://www.micheletorr.com/