Tre passi nel delirio
DugentodumilaVersion française – LES TROIS PAS DU DÉLIRE – Marco Valdo M.I. ... | |
HISTOIRES EXTRAORDINAIRES Premier pas : La peur C’est le moment! Tes mains tremblent, et pourtant tu est le meilleur pilote de l’armée de l’air ! Qu’est-ce qu’il-y-a ? Cette fois les ordres te semblent un peu étranges ? T’inquiète pas ! Là-bas n’il ya que des bêtes ! En plus tu n’est pas obligé à savoir qu’est-ce qu’il-y-à la bas ! A ces petits bonhommes tu rendra le même service qu’ils ont rendu à ton peuple aux Hawaii ! Leur banzaï tourmentent encore ton esprit, en se présentent sous la forme d’une image funeste, ta vengeance sera honnête! Vole ! Les ciels t’ouvrent leur ports, vole ! Ce n’est pas toi à être responsable de leur mort, mais tes poings sont violets, tu serre la cloche trop fort, c’est l’Enola ! Toi, tu accomplira, ta mission sans t’en apercevoir ! Et maintenait, c’est le moment d’appuyer sur ce putain de bouton, ta peur se dissoudra, lorsque tu verra l’explosion ! Calme-toi maintenant, arme cette bombe ! Vide ton cerveau, ton ombre est déjà allongé sur terre ! Charge le canon et vas-y ! Vas-y ! Ta peur te guidera ! Vas-y ! Ne reste que d’appuyer! Vas-y ! Tues ces connards d’hommes jaunes ! Vas-y ! Tues ces connards d’hommes jaunes ! Deuxième pas : Le remord Quelque chose ne marche pas, c’est depuis que tu t’est reveillé que tu n’est pas bien ! Tu reste allongé sur ton canapé, tes yeux fixent le vide, tu as la gorge nouée, tu attend que ton malaise passe, tu goute l’amer de ta bouche, tu essaye de te convaincre que la cause de ton malaise c’est le stress ; tu te dis que ce n’est pas grave et que demain tu sera mieux ! Tu n’as rien à foutre, toute le monde à des moment de travers, mais tôt ou tard passera, passera, passera … Et pendant la nuit, tu n’arrête pas de te retourner dans ton lit ! Quand tu est en train de t’endormir, tout à coup tu te sent étouffer, tu sursaute à l’improviste, tu ferme tes yeux, tu les rouvre, tu transpire froide, tu arrête tes pensées, mais voilà ! À coté de ton meuble, une silhouette te fixe, elle est immobile ! Tu n’arrive pas à croire à tes yeux, mais elle est là impassible, tu essaie de donner la faute ta tension, tu n’arrive pas à croire que ça soit possible, tu ferme tes yeux, tu arrête encore un moment tes pensées, mais dans l’obscurité de la pièce, sa présence est encore plus inquiétante ! L’angoisse t’assaille, tu cherche de reprendre les forces, mais quand tu rouvre tes yeux la silhouette est disparue ! Tu te lève, tu nettoie ton front transpiré, tes tempes battent, la tension t’atterrit, c’est bizarre ! Dernièrement ce cauchemar recourent, c’est de plus en plus fréquent ! Tu te dirige vers la salle de bain pour rincer ton visage, et à l’improviste tu entend une voix qui te murmure, que le ciel derrière toi c’est devenue du couleur de la pourpre, et c’est ta faute ! Les certitudes des ton esprit tombent avec les pellicules de ton cuir chevelu, tu sent un coup au cour pénétrant comme une morsure, ton battement du cœur accélère … Là travers le miroir, c’est le spectre du remord généré par ton reflet, encore un effort et de nouveau, de nouveau il est disparu ! Mais tu est encore secoué, tu fais un pas, tu te remet, un autre pas, tu veux retourner dans ton lit, un troisième pas, tourne pas ! Ce monstre t’attend, son visage est prête pour te tourmenter ! il est là caché de quelque part ! Trop tard ! Et finalement tu t’endorme, mais ton sommeil est agité, est troublé par le spectre du remord, remord, remord … Troisième pas : La honte Des histoires extraordinaires, pourront-elle jamais réaliser ton seul désir ? Une potion pour transférer allieurs tes pensé ! Je sais bien, c’est toute la vie que tu essaye ! Congédié avec l’honneur du péché comme ton État à voulu. Et après, marié avec une femme que tu avais déjà trahi avant de l’épouser ! Tu as eu de la chance ! Beaucoup de chance ! Le destin t’a récompensé avec un fils inattendu et t’a patrie t’as transformé dans un riche retraité. Tu est loin de toi, à des années lumières de ton esprit, dans les esprits du monde que tu vois maintenant n’il ya pas l’Orient ! Je ne comprend pas tu m’évite, tu me échappe, si j’essaye de regarder dans tes yeux pour comprendre tes raisons ! Hier soir au resto, tu était bizarre, lorsque en parlant avec tes amis à propos de la guerre tu à nommé une bombe, tu n’était pas sincère quand tu à dit que tu à fait la guerre avec conscience en gardent bien tes pieds sur terre ! C’est la honte ! Ce n’est que la honte ! C’est le carcan que te marquera pour tu la vie, c’est une image peinte sur un tableau de Mantegna ! L’œil se mouille, au dessus du sourcil, ton orgueil mourra avec toi, que tu étais capable de mentir même a ton enfant ! | LES TROIS PAS DU DÉLIRE Premier pas : La peur Et maintenant, tes mains tremblent Pourtant tu es le meilleur pilote de ces engins, Et si cette fois, ces ordres te semblent un peu étranges Eh bien, ne te préoccupe pas ; en bas, ce ne sont que des chiens Et puis, tu ne sais pas, tu ne sais pas ce qu'il y a là en bas À ces bonzaïs, tu feras ce qu'ils ont fait à Hawaï Ils te tournent encore la tête, leurs banzaïs Avec leurs images funestes d'autrefois La vengeance sera honnête ! Et vole , vole ! Le ciel t'ouvre ses portes Tu n'es pas responsable de la mort, mais Ton poing est violet, Tu serres trop fort : c'est l'Enola ! Tout va se faire automatiquement... Voilà ! C'est le moment de presser le bouton, Ta peur disparaîtra quand tu verras l'explosion, À présent, du calme ! Arme cette bombe, Vide ton cerveau, à terre gît ton ombre ! Actionne ! Fais-le ! Tu n'as rien d'autre à faire que la lâcher Fais-le! C'est ta peur qui te pousse à le faire ! Fais-le! Tue ce bâtard de jaune ! Fais-le! Tue ce bâtard de jaune ! Deuxième pas : Le remords Quelque chose ne va pas, tout le jour tu te sens bizarre Assis sur le divan, tu fixes le vide, tu sens un nœud qui te serre La pomme d'Adam et en attendant que ça passe Tu goûtes cette légère amertume… Tu te rassures, tu es seulement un peu stressé Tu te convaincs que ce n'est rien ; demain, ce sera passé Après tout, une journée tordue, arrive à tout le monde Ça passe, ça passe, ça passe… Et la nuit, quand tu cherches le sommeil, tu te retournes dans ton lit , Tout à coup, tu ne respires plus, tu sursautes au moindre bruit Tu fermes les yeux, tu les rouvres, tu sues, tu as froid… Tes pensées soudain sont muettes, puis tu la vois ! Debout auprès du meuble, une figure te fixe immobile tout droit, À n'y pas croire, impassible, sans expression, elle est impassible ! Ce doit la pression, ça te semble impossible, Tu fermes les yeux, tu te bloques un instant Dans le noir de la chambre, cette présence a quelque chose de plus inquiétant L’anxiété t'assaille, tu te forces, mais au moment Où tu rouvres les yeux, cette image fond Tu te lèves du lit lentement, tu sèches la sueur de ton front Tes tempes battent ; la pression te berce étrangement Dernièrement, ce rêve récurrent est toujours plus fréquent Tu vas au lavabo te baigner le visage ; tout à coup , tu entends Une voix qui te murmure que le ciel derrière toi s'empourpre Et c'est toi qui l'as décidé, tu avais des convictions en tête Tu grattes cette pellicule, tu sens au cœur une morsure Les battements accélèrent ; dans le miroir, il y a le remords et son spectre Que ton reflet engendre, tu fais un dernier effort et à nouveau, À nouveau, il a disparu à nouveau… Mais tu te sens encore ébranlé, tu fais un pas, tu te reprends, un autre pas Tu veux retourner te coucher un troisième pas, ne te retourne pas Il y a ce monstre qui t'attend, ce visage qui vient te tourmenter Il est là caché, il est trop tard…encore Et finalement tu t'endors, mais d'un sommeil agité Un sommeil troublé par le spectre du remords… Troisième pas : La honte Il y a trois pas dans ton délire, ou un seul désir Avoir le sérum pour exporter ailleurs ta pensée Tu voudrais bien dire, oui je le sais, tu nous as déjà prouvé, écarté Avec l'honneur du péché que ton État sut établir Et puis, mari d'une femme qu'en réalité, tu as déjà trahie Chanceux, très chanceux, le sort t'a récompensé Avec un fils inattendu, et à présent, la patrie A fait de toi un riche retraité ! Tu es loin, à des années lumière, pas d'Orient Dans l'esprit des gens qui partagent ton présent ! Je ne comprends pas tu es évasif, pratiquement réticent Quand je te regarde attentivement pour comprendre ton mobile ! Ton regard me repousse et s'éloigne Elle était étrange cette histoire qui parlait de la bombe Quand au dîner conversant avec les amis sur la guerre Tu as dit que tu l'avais fait avec les pieds bien posés Sur terre ! La honte, c'est seulement la honte ! C'est la honte qui t'a marqué C'est une image peinte sur un tableau de Mantegna L’œil humide juste sous le sourcil, ton orgueil mourra En mentant un jour même à ton fils tant aimé ! |